Démontage :
On commence par le support SSD.
Une vis le fixe par le dessus.
Une fois retirée, on glisse le support légèrement vers l’arrière du boitier pour le dégager de ses points d’ancrage.
Le support SSD.
L’absence de silentbloc n’optimise pas la mise en place d’un stockage de type disque dur.
Le panneau avant est fixé par deux vis.
Le module supportant le Riser et la carte graphique.
Il est fixé au châssis par trois vis sur le dessus et une sous les équerres PCI.
On retire la base du boitier en libérant d’abord les clips arrières.
Puis on passe sur les latéraux d’arrière en avant.
On soulève alors le châssis par sa partie arrière qui permet de dégager le clip situé à l’avant ainsi que les prises audio et ports USB 3.0.
On note que l’accès à l’arrière du Socket est maintenant possible.
Contrairement au capot du boitier, la structure plastique de la base ne recouvre que les bords de la plaque en acier.
Cette dernière est fixée à la structure par le biais de pattes métalliques.
Sous le châssis, on retrouve le filtre de l’emplacement de l’alimentation.
Sa bordure aimantée permet de rester en place sur le châssis en acier.
Même constat en ce qui concerne le filtre placé sous l’emplacement des deux ventilateurs en 120 mm.
Histoire d’éviter la transmission de vibration entre le fond en acier du châssis et la plaque métallique de la base du boitier, la marque a disposé des patins en mousse.
Le support de la carte graphique est fixé par deux vis.
On remarque la forme oblongue du trou de fixation permettant d’ajuster la position du support par rapport à la largeur de la carte.
Un support biseauté qui permet aussi de s’ajuster à l’épaisseur de la carte graphique.
Le cordon avec le déport de la prise secteur.
Les différents filtres du Node 202.
Le support de l’alimentation pour permettre sa fixation au sein du châssis.
Il est doté d’une structure en mousse caoutchoutée sur sa face interne qui est en contact avec le bloc.
Fractal design décline son boitier sous deux versions.
La différence ne se fait pas de par la présence d’une vitre ou de par la couleur du boitier…. mais seulement par l’intégration ou non d’une alimentation SFX.
Nous avons droit à une Integra SFX d’une puissance de 450W.
Elle mesure 125 mm de largeur sur 100 mm de profondeur pour une hauteur de 64 mm.
Elle pèse 1 kg.
Elle est dotée à l’arrière d’une grille en nid d’abeille intégrant la prise secteur ainsi que son interrupteur.
Le bloc embarque un ventilateur en 80 mm.
L’alimentation est garantie trois ans et propose toute la panoplie de protection : OPP / OVP / UVP / SCP / OCP.
Elle n’est pas modulaire.
Elle est certifié 80+ Bronze et est dotée de deux rails 12 V de 18 A chacun.
Les différents câbles sont partiellement revêtus d’une gaine tressée noire.
Pour autant les fils ne sont pas noirs mais peu importe, le Node 202 n’inclut pas de capot vitré.
La longueur des câbles est adaptée à ce genre de boitier où vient généralement prendre place une alimentation au format SFX.
Nous avons un câble Sata avec deux prises.
Il mesure 250 mm avec une distance de 100 mm entre les deux prises.
Petite anecdote avec ce petit bout de gaine tressée entre ces deux prises garni de gaine thermo…
Un câble ATX en 20+4 broches mesurant 300 mm.
Un câble CPU 4+4 broches mesurant 400 mm histoire d’aller jusqu’à la prise CPU de la carte mère.
Et un câble PCIe doté de deux prises 6+2 broches.
Il mesure 500 mm dont 100 mm entre les deux prises.
Le châssis nu avec ses différentes pièces fixées entre elles par des rivets.
Le socle du Node 202 en matière plastique avec une base mesurant 125 mm de large et remontant sur 33 mm pour assurer une bonne stabilité du boitier en position verticale.
On note la présence sur le fond d’un petit décalage ce qui induit un sens du socle par rapport au bord latéral du boitier. Le déport se place du coté de la base du Node 202.