Démontage :
Avant de déposer la façade nous devons commencer par le Top.
Pour cela, nous devons retirer les deux vis à main qui maintiennent la structure du carénage sur le châssis (à noter que ces vis ne restent pas solidaire du carénage).
Ensuite, nous n’avons qu’à faire légèrement glisser le carénage vers l’arrière du boitier pour le libérer des encoches présentes sur le châssis.
La dépose du Top nous donne accès au support de ventilation supérieure.

Un support qui demeure amovible, fixé au châssis par 4 vis à main.

On note par ailleurs que ledit châssis dispose de deux jeux de points de fixation.

Ce qui permet de décaler le support vers la porte principale.
Une opération nécessaire si nous désirons installer un radiateur de Watercooling sur ce support afin d’éviter tout contact avec le plateau de la carte mère (notamment dans un format incluant une ventilation en 140 mm).
Cependant, la position initiale s’avère indispensable si nous voulons juste installer deux autres ventilateurs en 200 mm.

On retrouve les mystérieux emplacements qui se positionnent sur la partie horizontale du plateau de la carte mère…
Le plus grand mesure 115 mm sur 68 mm. Cela ne correspond même pas à l’installation du contrôleur pour les ventilateurs Riing de la marque.
Le mystère demeure entier et ne trouve peut-être une réponse que dans une option qui n’a finalement jamais vu le jour.

Le support dispose de nombreux points de fixation permettant d’installer jusqu’à 3 ventilateurs en 120 mm ou en 140 mm.

Nous avons aussi des points de fixation pour deux ventilateurs en 200 mm.
Nous utiliserons d’ailleurs les vis spécifiques incluses dans le bundle afin d’installer ce genre de ventilateurs dans la partie haute du boitier.
Chaque rangée est identifiée par un chiffre correspondant au diamètre du ventilateur.
La forme oblongue permet d’ajuster la position des ventilateurs ou du radiateur de Watercooling (taille maximale 360 ou 280).

La face interne du Top avec son panneau en verre trempé dont la teinte est identique à celle de la porte principale.

Nous avons sur chaque bord les plots de centrage ainsi que les crochets qui se glissent dans les encoches présentes sur la paroi supérieure du châssis.
En arrière plan, on distingue le filtre spécifique aux ouïes d’aération.

Le carénage dispose de larges encoches afin de laisser un espace avec le panneau en verre trempé et permettre à l’air de passer.
Cet espace est de 9 mm de part et d’autre de la vitre et court sur 375 mm sur la profondeur du boitier.

Une fois que nous avons retiré le Top, nous pouvons ôter la façade.
Le carénage de cette dernière dispose aussi de crochets qui s’insèrent dans des encoches présentes sur la paroi antérieure du châssis.

Nous n’avons qu’à faire glisser le carénage vers le haut pour libérer les crochets de leur encoche et ainsi retirer la façade ou du moins la partie vitrée de celle-ci.

Cette façade se présente donc en deux parties distinctes.
La partie tout en plastique dispose aussi d’un système de crochets tout en étant associée à deux petites vis sécurisant l’assemblage.

Le panneau des connectiques reste solidaire de cette partie du carénage.

Nous retrouvons nos deux ventilateurs en 200 mm.

Le support de ventilation est aussi amovible.
Il se fixe dans son extrémité supérieure par deux vis à main.

Une seule vis à main sécurise l’assemblage de son extrémité inférieure confié à une structure en plastique qui s’insère dans une encoche présente sur la base du châssis.

Ce support est en tout point identique à celui présent dans la partie haute du boitier.
Nous retrouvons donc l’identification des différents points de fixation en fonction du diamètre des ventilateurs.
Il accepte jusqu’à trois ventilateurs en 120 mm ou en 140 mm et deux ventilateurs en 200 mm.
Du côté du Watercooling, nous pouvons installer un radiateur en 360 ou 280.

La face interne de la partie vitrée de la façade.

On retrouve les plots de centrage ainsi que les crochets.
Tout comme le carénage du Top, la structure bénéficie de nombreux renforts visant à optimiser la rigidité structurelle.

Sur le bord externe du carénage, la large encoche libère un espace de 11 mm sur 375 mm.

Cet espace se réduit à 5 mm sur le bord interne.

Le PCB des connectiques du View 51 TG ARGB est fixé à la structure en plastique du carénage par 4 vis.

Voici une animation présentant la rotation à 90° des équerres.
On retire dans un premier temps le cache puis on enlève les 5 vis propres au support des équerres.
Un système de fines encoches est associé à ces vis.

Le cadre embarquant les deux supports Riser comporte 5 emplacements.
Cela permet de positionner la carte graphique plus ou moins loin de la porte principale.
Dans le cas où l’on intègre la carte graphique dans un circuit de Watercooling sur mesure, ce concept optimise l’emplacement de la carte par rapport au reste du circuit.
Dans une configuration multi GPU, c’est la carte la plus en avant et donc au plus prés de la vitre du boitier qui voit son Riser branché sur le second port PCIe. Riser que l’on connecte avant celui qui prend place sur le premier port PCIe.

Bien sûr, si nous connectons la carte graphique directement sur la carte mère, nous pouvons retirer le cadre libérant un bel espace dans le bas du compartiment principal.

Le support des équerres avec son cache.

Le cadre et ses deux supports pour Riser.

La grille qui donne accès aux tiroirs de la cage HDD.
On note que c’est l’une des rares vis à main qui demeure solidaire de la structure.

La cage HDD.
Dommage que Thermaltake ne propose pas, même en option, un système “Hot Swap” qui collerait fort bien avec l’accès externe des tiroirs.

Chaque tiroir peut accueillir un disque dur 3.5″ ou une unité de stockage 2.5″.

Par contre, le montage passe par l’utilisation de vis et donc d’un tournevis.
On note par ailleurs que les points de fixation ne disposent pas de silentbloc.

Les deux supports pour SSD.

Le support pour la pompe de Watercooling.

Le support spécifique au bloc d’alimentation.

Le contrôleur aRGB du View 51 TG ARGB.
Nous avons les trois prises (blanches) spécifiques à la ventilation du boitier identifiées par Fan1, Fan2 et Fan3.
Ce sont des prises particulières qui viennent alimenter les LED aRGB des trois ventilateurs, mais aussi le moteur de ces ventilateurs. Or le contrôleur ne gère pas ce dernier, chaque ventilateur tourne donc à sa pleine vitesse en étant uniquement alimenté par une tension en 12 V.
Un élément nous surprend… C’est la présence d’une quatrième prise Fan !!!
Son intérêt est donc plus que limité vu que le PCB ne dispose pas du contrôle de la ventilation.
En descendant sur la gauche, nous avons une prise 3-pins blanche afin de connecter une bande de LED aRGB (alimentation en 5 V).
Une prise 2-pins permet de détourner le câble du bouton Reset du boitier afin de commander le contrôleur et ainsi de passer en revue les différents modes d’éclairage qu’il propose à chaque impulsion sur le bouton Reset du View 51 TG ARGB.
L’alimentation du PCB est confiée à une prise Sata.
La dernière prise intitulée M/B-IN permet de synchroniser le rétroéclairage avec le logiciel de la carte mère si celle-ci dispose d’un header aRGB. On utilise l’un des deux câbles inclus dans le bundle en fonction du type de connectique que présente le header aRGB : 5v/D/-/G ou VDG.
On constate que le contrôleur ne dispose d’aucune prise permettant de le relier à un port USB interne de la carte mère afin de bénéficier du logiciel propre à Thermaltake (TT RGB Plus).

Le View 51 TG ARGB est équipé de trois ventilateurs.
A l’arrière, nous avons un ventilateur en 120 mm.
A l’avant, nous avons deux ventilateurs en 200 mm.

Ils sont tous les trois dotés d’un rétroéclairage aRGB basé sur 9 LED qui prennent position au centre des pales.
Thermaltake précise bien sur les spécifications de son boitier que la vitesse de rotation des trois ventilateurs demeure fixe.
Les ventilateur en 200 mm tournent à une vitesse de 600 tr/min tandis que le ventilateur en 120 mm tourne à 1000 tr/min.
On constate alors que chaque ventilateur dispose de cette prise propriétaire que l’on ne peut connecter que sur le contrôleur aRGB du View 51 TG ARGB.
Si ce dernier vient à tomber en panne, à nous les joies du bricolage électrique.

Mis à part les parties fixes des charnières, les autres pièces en acier du châssis sont fixées entre elles par des rivets.
Nous n’avons pas retiré les pieds du boitier, car deux des trois vis se dissimulent sous les patins en caoutchouc (bien scotchés au plastique).


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