Le rétroéclairage :
L’anneau translucide est clipsé au niveau des coins du cadre comme nous pouvons le voir sur cette photo.

Une fois cette pièce retirée, nous avons la structure interne du cadre qui s’avère être aussi amovible.
En effet, elle dissimule la bande de LED ARGB et permet de ne pas laisser la lumière colorée se diffuser directement vers les pales. Elle ne peut alors que se voir qu’à travers l’anneau translucide sur la face avant du ventilateur et les fins liserés présents sur la face arrière du cadre.

Notre Light Wings White arborant un diametre de 120 mm dispose de 18 LED ARGB.
Le modèle en 140 mm, profitant d’un plus grand diamètre, dispose de deux LED supplémentaires.

Les soudures nous paraissent de bonne qualité.

La diffusion à travers l’anneau translucide est homogène.

L’épaisseur de 5 mm de cette structure permet de faire apparaitre le rétroéclairage sous divers angles.

Et comme nous avons pu le voir dans le chapitre précédent, be quiet! implante quatre fins liserés sur l’arrière du cadre qui se rehaussent de cette lumière colorée.
Certes, cela reste nettement plus discret que sur la face avant du Light Wings White, presque anecdotique tout en demeurant plus stylé.

Les nombreuses LED ARGB vont permettre d’afficher un bon nombre d’effets dynamiques.
Cela dépendra bien sûr du logiciel de la carte mère : Asus Aura, MSI Mystic Light, RGB Fusion Gigabyte ou Asrock Polychrome RGB.
Comment se comporte cet éclairage lorsque le cadre est blanc ou lorsque ce dernier est noir ?
On vous laisse juger par vous même avec cette juxtaposition.
Chacun de ces deux exemplaires embarque le même nombre de LED ARGB, seuls le cadre et les pales arborent une couleur différente que nous pouvons considérer comme étant le fond de projection de l’éclairage du Light Wings (White).
De ce fait, le fond noir ou le fond blanc ne peut que modifier notre perception de l’éclairage qui, il faut l’avouer, parait d’une teinte plus pastel avec le fond blanc.
