LE CLAVIER

Le Speedlink Parthica est un clavier dit “gamer”. Le look est plutôt réussi et la sensation de solidité est indéniable. La totalité du clavier est constituée de revêtement “soft-touch”. La particularité principale est le fait qu’il intègre des touches à membranes et non mécaniques. A l’avant la coque fait office de repose-poignet, cependant la barre d’espace est trop haute, de quoi choper un torticolis du pouce en cas d’utilisation intense. Ceci provient du fait qu’elle est inclinée vers l’intérieur et non pas vers le repose-poignet comme il faudrait.
Pour la partie technique le Parthica n’a rien à envier aux grosses pointures du genre, 5 profils programmables, 93 touches configurables, 15 touches entièrement programmables







Dessous on trouve deux patins en caoutchouc à l’avant et deux pieds escamotables à l’arrière.

Côté gauche on a 5 touches grises M1 à M5 servant pour les macros programmables, La touche P au dessus permet d’appeler 1 des 5 profils enregistrés.

En haut çà gauche on a les touches de navigation, poste de travail, internet, mail, recherche et favoris. F1 à F3 combinées avec Fn permettent de choisir la couleur du retroéclairage, rouge, bleu ou violet.


En haut au centre, le nom Parthica s’eclaire de 5 couleurs différentes selon le profil actif.

En haut à droite on trouve les touches multimédia classiques, play/pause, stop, son off, volume + et volume –, bizarrement il n’y a pas de touches suivant et précédent (forward, backward).


Sur la tranche, un petit bandeau en plexi s’éclaire de la couleur du rétroéclairage sélectionné.



Les couleurs ressortent très mal sur ces photos, sachez que le rouge est bien rouge, le violet bien violet et le bleu bien bleu, cependant, et c’est le plus gros reproche que je peux faire à ce clavier c’est l’intensité de l’éclairage qui est bien trop faible. Malgré 4 positions, 0, 50, 100% et fade in/out, même à 100% l’éclairage est insuffisant.

Le câble est gainé et mesure 1,8m, le connecteur USB est plaqué or.
