LA PARTIE LOGICIEL
De la même manière que la dernière fois, Coolermaster nous offre un pilote de contrôle très sombre et tout en anglais. Plus fourni que dans le cas précédent, il reste toujours aussi intuitif, simple à configurer et ne devrait pas poser de problème de compréhension.

Sur la page d’accueil, nous avons accès à plusieurs sous-menus. Le premier d’entre eux donne la possibilité de reconfigurer les fonctions attribuées aux 8 boutons principaux de la souris.
Comme dans le test précédent, la configuration se fait via des menus déroulant qui proposent des alternatives prédéfinies aux affectations d’origine mais il est tout à fait possible d’attribuer des combinaisons personnalisées à partir des touches du clavier. Sur le bouton identifié comme numéro 5, nous avons la possibilité d’attribuer la fonction Storm TX qui nous servira dans le sous-menu suivant du même nom.

Dans celui-ci, il est donc possible de définir les combinaisons alternatives qui peuvent être activées via le bouton Storm TX. Attention tout de même, pour activer les combinaisons, il faut penser à affecter la fonction Storm TX au bouton indiqué précédemment si l’on veut que cela fonctionne.


Dans le sous-menu suivant, nous retrouvons la partie loupiote de la souris avec la possibilité de configurer l’éclairage situé autour de l’écran OLED et de la partie avant. Définies par défaut avec quatre codes couleur, il sera possible de faire varier la couleur associée au profil DPI sélectionné en jouant sur les trois lignes R,G et B situées juste en dessous.
Il sera également possible de choisir un éclairage lié au profil DPI ou au profil utilisateur. Ces profils pouvant d‘ailleurs être sauvegardés dans l’onglet spécifique.

Concernant l’éclairage, il est possible de choisir la couleur souhaitée et le mode d’éclairage associé. Qu’il soit statique, par balayage, variable en intensité ou bien tout simplement éteint, il sera possible de choisir le mode d’éclairage adapté à nos envies.

Positionné plus discrètement sur la gauche du menu, on trouve le moyen de charger une image au format BMP afin qu’elle s’affiche sur l’écran OLED.

Tout comme pour la Xornet 2, il est également possible de définir le niveau de sensibilité de manipulation mais cette fois-ci, nous pouvons la régler de façon indépendante suivant les axes X et Y. Il sera également possible de définir les niveaux de DPI associés à chaque profil ainsi que le seuil de sensibilité au décollement. Bref, plein de choses accessibles pour optimiser l’utilisation de la souris.


Dans les onglets principaux, on trouve une chose qui n’était pas présente lors du test de la Xornet 2 comme la capacité à stocker des macros. Il sera possible de les enregistrer dans la mémoire interne de la souris. C’est un point qui pourra servir aux plus avertis… ou pas.

