La souris :
La M65 RGB en version Pro!
Elle existe en deux couleurs au niveau de sa partie supérieure : en noir ou en blanc.
Son poids total est de 135.5 g.
Elle mesure 118 mm dans sa plus grande longueur sur 72 mm dans sa plus grande largeur.

La M65 est doté d’un profil relativement plat qui tombe brusquement sur l’arrière.
Sa hauteur maximale est de 39 mm. Le point culminant est situé sur le 1/3 arrière.

Le flanc gauche comporte les deux boutons latéraux (page suivante / page précédente) de forme assez étroite et disposés sur le bord supérieur.

En dessous, en plein milieu du flanc gauche de la souris, nous avons un bouton de couleur rouge métallisée.
Il estampillé d’un symbole blanc qui rappelle la cible visible dans la lunette d’un fusil sniper… c’est d’ailleurs sa fonction première : bouton sniper.
Il permet de baisser le niveau de DPI au minimum lorsque qu’on reste appuyé dessus histoire de viser avec précision.
Nous pourrons à loisir modifier le niveau de DPI par le biais du logiciel CUE, une valeur paramétrée à 400 par défaut.

On note que le bord gauche de la M65 est évasé en s’étalant au niveau de la base, ce qui permet de bien caler le pouce contre la paroi et évite qu’il ne traîne sur le tapis de souris.
Par ailleurs on remarque que la texture à ce niveau est granité ce qui améliore l’accroche dudit pouce.

Sur cette vue arrière, on visualise d’autant mieux l’évasement du flanc gauche.
Sans conteste, la M65 Pro RGB est une souris pour droitier quant on voit comment plonge le bord droit.
On note que la partie postérieure de la coque s’arrête bien avant la base. On aperçoit d’ailleurs la structure en aluminium du châssis dotée d’une bonne épaisseur.
On remarque aussi que les bords sont totalement indépendants de la partie supérieure, les différentes parties s’articulant autour de ce châssis en aluminium.

A ce niveau, nous avons le logo Corsair avec un aspect translucide traduisant la présence de la 1ere zone de rétroéclairage.
La coque bénéficie d’un revêtement Soft Touch moins “agressif” que le grain présent sur les flancs de la souris.

Une texture granitée que l’on retrouve donc sur le flanc droit exempt d’une quelconque présence de bouton.
La paroi est aussi plus courte au niveau de la partie arrière dévoilant un peu plus le châssis en aluminium.

Point d’enfoncement de la paroi à ce niveau, la paroi est aussi verticale qu’une falaise normande…

Sur cette vue de face, nous constatons que la courbe du dos de la souris décline aussi sur son coté droit, preuve en est de la différence de hauteur entre le clic gauche et le clic droit.
Cela permet de bien épouser la position naturelle de notre main lorsque notre pouce vient se caler sous notre index.
Les différents contacteurs sont de type Omron et supportent jusqu’à 20 millions de clics, de quoi voir vieillir notre mulot…

Entre les deux clics principaux de la souris, enchâssée entre les replis de la structure en aluminium, vient prendre place la molette de défilement.
Elle est dotée d’une structure qui s’apparente à de l’aluminium anodisé noir et embarque une bande de caoutchouc crantée pour améliorer le grip de notre index lorsqu’il actionne la molette.
La deuxième zone de rétroéclairage se situe à ce niveau.

On note la présence du nom de la marque écrit en lettres blanches sur le bord du clic gauche.

En arrière de la molette, nous avons les deux boutons de réglages du niveau de DPI.
Celui au plus prés de la molette permet d’augmenter le DPI, le second permet de le diminuer.
Le réglage se fait sur 5 niveaux qui sont paramétrés par défaut à : 800, 1500, 3000, 6000 et 9000.
Un élément s’insère entre les deux boutons et ressemble à un troisième switch mais qui se révèle être en fait l’identifiant du niveau de DPI.
Les deux cercles translucides diffusent une lumière dont la couleur correspond à un niveau de DPI. Il s’agit de la troisième zone de rétroéclairage que l’on va pouvoir configurer grâce au logiciel maison CUE.

La sortie du câble se positionne sous le clic gauche.
Un insert en plastique souple évite sa détérioration prématurée de par les mouvements incessant de la souris.

Le câble mesure 1.80 m.
Il est revêtu d’une gaine tressée noire très compacte.
Une bande velcro reste solidaire dudit câble pour faciliter son rangement.

On ne trouve pas de plaquage or au niveau de la prise USB, peut être pour rester dans les tons monochromes de la M65…

Sous la souris, nous retrouvons la base du châssis en aluminium qui permet d’assurer une bonne rigidité de la structure de la souris tout en allégeant son poids.

Plusieurs patins de glisse en PTFE (qui n’est autre que du Téflon) se positionnent sur les bords.
5 au total avec deux à l’avant, un à l’arrière et un sur chaque bord latéral.

Au centre prend place le capteur optique boosté aux hormones qui développe pas moins de 12000 DPI !!!
On remarque au passage l’aspect brossé de l’aluminium.

Histoire de placer au plus bas le centre d’inertie de la souris, le système de poids ajustable est positionné à la base de la M65 Pro RGB.
Trois logements sont repartis sur la surface de glisse, deux vers l’avant et un vers l’arrière.

Chaque poids est dissimulé derrière une vis à tête large.
L’emplacement est judicieux mais il faut se munir d’un outil (ou une pièce de monnaie) pour retirer la vis.

On trouve alors la petite masselotte caler au fond de son logement.

Masselotte que l’on pourra bien sûr retirer pour ajuster le poids de la souris.

L’ensemble pèse 18 g (masselotte + vis), ce qui permet de faire varier le poids de la souris de 115 g à 133 g.


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