Démontage :
Nous commençons par la façade.
Elle dispose de 4 embouts de type “bâtonnet“, sur chacun de ses montants, qui s’insèrent dans la structure en acier du châssis.
Il faut glisser la main sous le bord inférieur du carénage et tirer vers soi.
Nous retrouvons les trois ventilateurs dotés de leur rétroéclairage aRGB.
Au-dessus, nous avons l’emplacement de la baie 5.25″.
La présence des rivets noirs trahit le fait que la baie reste solidaire du châssis à moins de faire intervenir la perceuse.
On aperçoit les bandes de LED aRGB qui se glissent sous les baguettes translucides du Top.
Elles dessinent une courbe afin d’assurer la continuité avec les bandes de LED de la façade.
Le type de LED : WS2812B.
Les ventilateurs du boitier ont leur propre point de fixation taraudé.
Cependant, si l’on désire les associer avec un radiateur de Watercooling, la structure dispose d’autres points de fixation plus classique avec une forme légèrement oblongue.
La face interne du carénage de la façade.
On retrouve les embouts “bâtonnet” qui se clipsent dans la paroi du châssis au travers des ouvertures rondes qui leur sont dédiées.
Nous avons tout un tas de câbles issus des bandes de LED disposées au niveau de la façade…
… Sans compter la bande de LED placée à l’arrière du logo Enermax.
Le cache de la baie 5.25″ est fixé sur la face interne du carénage.
Nous avons deux languettes qui se clipsent à la structure en plastique.
Il faut alors farfouiller au fond de la baie pour retirer le cache de son logement afin d’insérer, ensuite, le lecteur optique.
La plaque acrylique qui couvre la ventilation avant du Saberay White.
On retire ensuite le Top qui dispose aussi de 4 embouts de type “bâtonnet” sur chacun de ses bords. La manipulation est moins aisée par manque de prise.
On tombe sur la grille en nid d’abeilles qui correspond à l’emplacement de la ventilation supérieure.
Les points de fixation arborent une forme oblongue pour ajuster la position d’un éventuel radiateur de Watercooling.
La face interne du Top.
La carénage intègre le panneau avant du Saberay White.
Nous avons deux PCB.
Le plus en arrière embarque la connectique USB et audio alors que le second regroupe, en plus des boutons Power et Reset, les différents composants électroniques des deux contrôleurs : ventilation et éclairage.
Ma ! Pourquoi choisir des fils colorés pour les câbles d’alimentation…
La grille Mesh du Top et sa sœur optionnelle pour la façade.
Elles intègrent sur leur face interne une grille plus fine qui joue le rôle de filtre.
Les deux supports SSD.
Les vis à mains ne sont pas solidaires de la structure en acier.
Les deux tiroirs de la cage HDD.
Ils présentent des points de fixation destinés aux unités de stockage 2.5″.
Le montage du disque dur 3.5″ se fait sans aucun outil.
Cependant, les ergots, faisant partie intégrante de la structure en plastique, ne disposent d’aucun joint en caoutchouc…
Le PCB sur lequel sont soudées les différentes prises 3-pins pour les ventilateurs et prises aRGB (5V/D/-/G) pour les LED.
Comme spécifié plus haut, les deux contrôleurs prennent place au niveau du panneau avant.
Les raquettes du Saberay White…
Faut bien ça pour marcher sur la neige !
Le filtre inférieur.
Le ventilateur en 140 mm prenant place à l’arrière du boitier.
Il est tout de noir vêtu et ne dispose d’aucune LED.
Par contre, les trois ventilateurs de la façade disposent d’un rétroéclairage aRGB.
L’alimentation des LED est indépendante de celle de la ventilation. Cette dernière n’est pas assujettie à une gestion PWM.
Le style du ventilateur est bien particulier et fort original !
A la fois carré et arrondi, tout dépend dans quel sens nous prenons le cadre !
Les LED prennent place au niveau de la structure du cadre et diffusent leurs faisceaux lumineux sur la partie antérieure du cadre, à travers le fin liseré translucide qui souligne les contours spécifiques du ventilateur.
L’arrière nous dévoile une autre particularité !
Nous avons une multitude de branches de liaison du cadre dotées d’une courbe qui va à contresens par rapport au mouvement des pales.
Le dispositif permet de casser les turbulences et ainsi de diminuer le niveau sonore.
Le bord du cadre ne laisse pas non plus indifférent, arborant tout un réseau de lignes.
Les coins sont dotés d’une mousse faisant office de silentbloc.
Que reste-t-il du châssis une fois tous ses éléments retirés ?
Pas mal de choses encore, en fait !
Le cache alimentation, comme la baie 5.25″ ou la cage HDD restent solidaires de châssis.
Il faut alors jouer de la perceuse pour aller plus loin…
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