Montage :
Le montage de l’I/O shield et de la carte mère ne pose pas de questions particulières. Comme d’habitude dans tous les boîtiers, faites attention à la façon de passer les câbles d’alimentation et le ventirad. Pour la carte graphique, on dévisse un peu les deux vis à main du cache, et on le fait glisser pour dégager l’espace.
Puis on le remet en position après avoir fixé la carte graphique. Le cache n’intervient pas dans la fixation. Ne faites pas attention à mon adaptateur USB mâle externe vers mâle internet, nécessaire puisque je n’avais pas de port interne sur la carte mère.
On rentre facilement une carte graphique Founder Edition dans le boitier. Pour le ventirad, un Cryorig C1, c’était un peu plus compliqué, il rentre au poil de lama contre le ventilateur supérieur, mais je voulais conserver celui-ci pour l’instant.
L’accessoire de soutien peut être posé entre le GPU et le cache. Je ne l’ai pas fait parce que la Founder Edition tient très bien seule, grâce à la bonne résistance des équerres PCI. La carte passe bien dans l’encoche laissée dans le support central.
J’ai 69 mm de libres entre le support pour ventilateurs et l’extrémité de la carte. Le câblage peut passer par l’ouverture devant ou par le petit passage à gauche du support central.
On aperçoit en haut à gauche le câble 8 pins EPS, le 24 pins ATX est cachée sous le ventirad.
Le SSD peut être positionné derrière, sur la droite du support, avec quatre vis.
Ou à gauche, de la même manière. Les câbles sortiront pile au niveau du cache, ce qui leur laisse de la place.
Ou encore, en dessous, toujours avec les quatre même vis.
Ce qui donne ceci à l’intérieur. Un peu plus compliqué pour les câbles, attention à utiliser des connecteurs droits.
Enfin, on peut monter le SSD devant avec quatre vis, en glissant les câbles sous le cache.
Puis en le posant à sa place. Les connectiques sont ainsi masquées.
On peut aussi placer un disque dur 3,5″ via l’emplacement de dessous. C’est le seul emplacement disponible pour ce format.
On a encore de la place pour les câbles autour, et pas qu’un peu.
L’alimentation SFX se fixe sur le support fourni via six vis à tête hexagonales.
Puis le support dans l’emplacement.
Cette solution laisse beaucoup de place pour les câbles ou le watercooling, et laisse respirer la carte graphique en air.
Dans le cas d’une alimentation ATX, on retire simplement le support. Le fait qu’une partie du support de carte mère soit un peu incliné, à sa transformation en cache alimentation, laisse de la place pour les câbles.
L’espace occupé par ce bloc de 180 mm est nettement plus important, et l’excédent de câbles gainés plus compliqué à masquer. Il y a beaucoup d’espace disponible pour ce faire néanmoins. J’ai redonné un petit coup de propre en montant d’autres ventilateurs par la suite, mais sans vraiment me servir du guide pour le 24 pins. J’imagine que si j’avais des tuyaux à faire passer sous le support central je m’y serais plus impliqué. Celui de droite m’a bien servi néanmoins, et les crochets à gauche aussi.
Quand on remonte la vitre, l’ensemble est plutôt cohérent et agréable à l’oeil. Les ventilateurs noirs ne jurent pas.
J’ai quand même voulu voir ce que je pouvais caler en plus dans ce boitier, et comme par hasard j’avais un radiateur de 45 mm, deux ventilateurs, et un petit réservoir en stock. Les ports du radiateur restent accessibles, et le support amovible est fort pratique. J’ai du pousser sur les câbles en dessous, et c’est vraiment limite au niveau du GPU aussi l’espace est quand même compté.
Ici un Alphacool Cape Corp Coolplex HF Metall 10, qui mesure 50 mm de diamètre et 100 mm de haut. On dirait qu’il a été fait pour le boitier !
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