Le routeur :
Sortons le routeur de sa pochette plastique. Il a une belle robe noire, dont un large liseré brillant marque la différence de hauteur. Le tout est en plastique de bonne qualité, mais qui attire la poussière et les poils de chat néanmoins. L’autocollant sur le dessus peut surprendre, mais la bonne idée qui se cache derrière est de pouvoir déplacer celui-ci, sur lequel sont notés les identifiants des réseaux WiFi, à l’identique de ceux indiqués sous le boitier.

Sur le coin inférieur droit, l plus accessible diront nous, se trouvent les boutons Wifi On/Off, et WPS. Le premier vous permettra de couper les réseaux sans fil (pour ceux qui veulent éviter les ondes la nuit ou lorsqu’ils sont absents par exemple), le second d’utiliser la fonction Wi-Fi Protected Setup, un système de connexion rapide des périphériques sans fils. C’est un système pratique disponible sur la majorité des smartphones récents qui vous évite de taper le mot de passe parfois farfelu, en se connectant en deux clics.
On a un gros évent en dessous, façon prise d’air comme pour une voiture, mais nul ventilateur derrière.

Sur la droite de l’engin, une sorte de poche donne la symétrie de celle d’en face, mais sans rien au fond. Elle est démarquée par un contour du même brillant que sur le dessus, et c’est dommage que la texture du fond ne soit pas plus utilisée, elle est plutôt sympa aussi.

Un peu plus loin, on trouve un premier emplacement pour antenne, intitulé Antenna 3, caché au fond. L’écriture est bien lisible, mais pas trop tape-à-l’œil.

Depuis l’arrière, où l’on retrouve notre évent démarré à l’avant, on distingue bien la base de l’antenne, et le fait que l’air peut circuler, mais sans aide d’un ventilateur. On trouvera la même chose de l’autre côté de cette face.

À l’arrière, nous trouvons de gauche à droite :
- un interrupteur pour couper le clignotement des LED de l’avant
- un minuscule bouton reset
- une antenne Antenna 1
- quatre ports RJ45 LAN à la norme Gigabit
- un port RJ45 WAN à la norme Gigabit
- une seconde antenne Antenna 1
- la prise pour l’alimentation
- le bouton on/off

Du côté gauche, une fois passé le port Antenna 2, on accède à une poche intéressante. Elle abrite deux ports USB3.0, cachés au fond de la poche et invisibles de face. Niveau design c’est plutôt judicieux, avec les deux petites écritures au-dessus ….

… et dans les faits ça marche plutôt bien, même s’il faudra être en face pour viser les prises. Ces prises servent à partager du contenu, façon NAS, avec un disque dur par exemple, ou une imprimante.

Jetons un œil sous le routeur maintenant. Je m’attendais à trouver de quoi le monter au mur, mais que nenni. Par contre les patins en caoutchouc accrochent bien, et de nombreuses découpes permettent à l’air de pénétrer dans le boitier et d’en sortir, le refroidissement étant complètement passif. On y retrouve aussi les codes pour le réseau sans fil.

Parmi les quatre antennes, deux sont identiques, et deux sont l’opposé l’une de l’autre au niveau de la charnière.

Elles viennent chacune se visser sur la fiche, puis sont ensuite mobiles pour les orienter. La marque conseille d’essayer de les orienter en suivant les débits pour trouver la meilleure orientation, comme à l’époque avec vos antennes râteaux !

Il n’y a pas à dire, l’ensemble a de la gueule ! Le petit frère a fait “Waaaah” quand il l’a vu, et ça vaut tous les commentaires du monde. C’est surtout une question de goût, mais le design choisi, très gamer, est bien réalisé. La série de LED blanches à l’avant façon cockpit d’avion est bien faite, mais j’accroche moins sur le plastique brillant des ouïes.

