Montage :
Le montage du SSD sur son support est très simple.
La fixation se fait par en dessous à l’aide d’un tournevis et de vis M3.
Il faut veiller à bien orienter le SSD de façon à …

… Avoir sa connectique vers le plateau de la carte mère et donc vers la goulotte du passage des câbles.
Deux emplacements sont disponibles.
On note que du coup le SSD est à l’envers par rapport à son propre logo… l’occasion de le modder…

En plus de ces emplacements, nous avons deux déports rectangulaires munis d’un trou au centre de chacun d’eux.
On peut alors supposer qu’il s’agit d’un emplacement pour fixer un réservoir de Watercooling.

Le disque dur 3.5″ peut prendre place à deux endroits différents.
Du coté des coulisses, à l’avant du plateau de la carte mère avec la présence des 6 trous spécifiques qui permettent d’ajuster sa hauteur.
Par contre nous n’avons point de silentbloc, à ce niveau en tout cas…

Une fois en place, le disque dur déborde de l’arrière du châssis… fort heureusement la forme bombée de la porte (et sa structure métallique) permet d’absorber cet excèdent.

Le deuxième emplacement se situe sous le carénage à l’avant de l’alimentation.
Ici, le disque dur dispose de silentbloc plus à même d’absorber ses vibrations.

Cet emplacement peut aussi accueillir une unité 2.5″.
Les silentblocs ne sont peut être pas utile pour un SSD mais ils permettent de surélever l’unité afin de faciliter la connexion des câbles Sata.

L’alimentation se faufile du coté des coulisses.

On peut brancher les différents câbles par la suite, nous avons pas mal de place pour accéder aux prises du bloc.
Le Manta peut accueillir des alimentations de grande profondeur, la limite se situe au niveau de l’occupation ou non de l’emplacement pour unité de stockage.
Mais même avec un disque dur 3.5″, nous avons de la place.

Aucun problème pour la mise en place de la carte mère.
Nous utilisons des vis 6.32. pour sa fixation sur les entretoises déjà en place sur le plateau.

Nous avons tout juste 30 mm avant d’atteindre les slots mémoire ou d’ailleurs la goulotte du passage des câbles.
Dans le cas d’un watercooling, on placera les ventilateurs sous le châssis et le radiateur au-dessus plus apte à accueillir ce dernier de par les 40 mm disponibles avant d’atteindre la structure du Top.
Qui plus est, l’absence de filtre conforte le positionnement des ventilateurs en extraction. Donc avec la ventilation sous le radiateur on optimise le coté Push plus efficace.

On apprécie les larges ouvertures au bas de la carte mère.

Tout comme celles placées au dessus.

Du coup nous n’avons pas de mal à brancher les différents câbles sur la carte mère.

Notre carte graphique prend aisément place au sein du boitier.
Nous avons une longueur maximale de 363 mm, la limitation est en fonction de ce que l’on place à l’avant du boitier.

Le Manta a beau être un boitier aux dimensions généreuses, il reste un boitier mini ITX.
Du coup la carte graphique (double slot) se retrouve à proximité du cache alimentation.
D’où l’idée de créer ces petites ouvertures pour que la ventilation propre à la carte graphique ne se retrouve pas asphyxier… Nous verrons ce qu’il en résulte lors des tests.

La config est en place.
D’un point de vue “aquatique”, nous pouvons positionner un radiateur 240 (ou 280) sur le haut et un 240 (ou 280) sur l’avant du châssis.
L’épaisseur de ce dernier détermine si on a affaire à un Watercooling complet ou de type AIO, tout comme la longueur de la carte graphique.
Les contraintes pour la mise en place d’un réservoir sont omniprésentes… sans compter que rien n’est prévu pour la fixation de la pompe.
Le Manta est plus enclin à accueillir deux AIO, un pour le CPU et un pour la carte graphique par le biais du Kraken G10.
Pour rappel, on peut aisément passer le radiateur à l’avant du boitier en Push/Pull.

On range les câbles coté coulisses.
Les points d’ancrage, la place sous le cache ainsi que la goulotte facilitent grandement le travail.

Du coté de l’Aircooling, nous disposons de 160 mm!!! De quoi placer un gros ventirad, du moins si la carte mère mini ITX est prête à l’accueillir.

La porte principale avec sa vitre bombée fait son petit effet! Limite on a l’impression d’avoir une vision de type fisheye…. et voilà la dernière allusion à la raie Manta…

On branche le câble secteur.
On appuie sur le bouton Power.
Et hop!

…. Le logo NZXT. se pare d’une lumière blanche….

Si ce n’est pas le cas, il faut jouer du bouton LED placé à l’arrière du boitier.
Un premier appui et le logo s’illumine.
Un deuxième appui, le logo s’éteint et l’I/O Shield s’éclaire.
Un troisième appui, le logo s’éclaire à nouveau alors que les Leds de l’I/O Shield restent allumées.
Un quatrième appui et tout s’éteint.

Tandis que le liseré placé à l’avant du Top du boitier reste allumé et même clignote en fonction de l’activité disque.

