Montage :
On commence par monter les tiges sur les pieds, avec les trous dans le bon sens.

A l’arrière, l’autre bout de la tige se pose bien dans son emplacement.

Les pieds montés, le boîtier tiens de debout ! On dirait qu’il a bu un coup de trop, de biais comme ça. Tout le haut de la carcasse pose sur ces deux pieds pour le moment.

On fixe la plaque de support à l’avant du boîtier, avec quatre vis, le tout par le même côté. Deux sur le pied, deux sur le support de carte mère.

L’autre support se fixe normalement sur l’alimentation puis sur le boîtier, mais j’ai décidé de sauter le montage hardware pour le moment. On a donc deux vis pour le fixer.

En haut, il faut faire traverser une barre.

Devant, on monte le support 1 HDD ou 2 SSD avec quatre vis, deux de chaque côté, ainsi qu’une barre.

Avec les vitres montées sur les barres, l’avant a une sacré gueule !

Aller, on part cette fois pour le montage hardware. On commence avec les entretoises de la carte mère. On visualise mieux les emplacements, et la découpe pour la backplate du CPU est bien large.

On monte l’alimentation en vissant les quatre vis à l’arrière, et elle pose sur l’avant. Celle ci fait 18 centimètres et tombe pile devant le passe câble, et est fixée au plus à gauche possible. Il y a de quoi mettre bien plus grand.

Avant de monter la carte mère, il faut monter ses disques à l’arrière, car ils ne seront plus accessibles ensuite.

On peut monter un périphérique 2.5″ ou 3.5″ par emplacement, à l’aide de quatre vis. Pas de rondelles anti vibrations pour les HDD, dommage.

Sur le support amovible, ce sera un HDD ou deux SSD.

Ici le HDD, avec les prises bien dégagées.

Et là les deux SSD.

Les prises débordent juste ce qu’il faut, c’est suffisant.

Je laisse mon SSD système, et le remonte avec les quatre vis du support. On pose maintenant la carte mère sur les standoffs. C’est étonnant de ne pas monter la plaque I/O à l’arrière. On a de la place pour travailler dans cette partie open air.

On fait passer le cablage. Petit couac pour le 8 pins EPS, celui de ma RM1000 était trop court de quelques centimètres, et il n’y avait pas de rallonge prévue dans le bundle. J’avais prévu d’utiliser des rallonges ModdingStylez testées ici, et avec un tel boîtier on songera vite aux câbles customs. A l’avant on a de quoi passer les câbles proprement, pour avoir une belle vue au travers de la grande vitre fumée.

On oublie pas les ventilateurs en haut, ici les trois oranges livrés, ainsi que les grilles. Elles sont montées comme montrées dans la notice, avec le cadre de la grille mis dans l’encadrement du support. Avec l’aluminium de 5mm et l’épaisseur de la grille en plus, les vis de ventilateur classiques ont peu d’emprise dans le cadre des ventilateurs.

Tout ces câbles se retrouvent à l’arrière. En bas à gauche, l’avant du boîtier, avec l’alimentation et l’arrivée des câbles du front panel. En utilisant les colliers autocollants fournis, il y a de quoi faire un rangement propre. Mais dans le cas actuel, on ne mettra pas forcement cette face à la vue de tous ! On a trois centimètres entre le support de carte mère et la vitre, c’est assez pour des gros nœuds. Les passes câbles sont présents tout autour de la carte mère, de bonne taille et avec une forme qui les dissimule en les mettant en avant. C’est assez réussi.

Ça prend une certaine place, c’est certain, mais cette gueule est de toute beauté ! C’est bien sur subjectif, mais franchement, ça sort du commun, et la vue sur les composants est impeccable.

A l’arrière on a une grande surface ouverte, qui permet de voir la configuration sous un angle inhabituel.

Un petit candy-shot.

Avec la place disponible autour de la carte mère, aucun soucis pour le montage. Les cables trouvent leurs places, le GPU rentre aisaiment, la maintenance sur la backplate CPU se fera sans soucis.
Nous n’avons néanmoins pas évoqué l’intégration du watercooling dans ce test, car le matériel n’était pas encore arrivé. Hors c’est un gros point sur ce boîtier, sur lequel nous reviendrons au plus vite.
