Le clavier :
Le Strike Battle est vraiment de forme compact! un minimum de châssis vient déborder au delà des touches.
Ce dernier est composé de matière plastique sur sa partie inférieure et nous avons droit à de l’aluminium sur sa partie supérieure.

Il mesure 351 mm sur 123 mm avec une hauteur maximale de 34.6 mm.
Pour atteindre ce format compact, Ozone a bien sûr sacrifié le clavier numérique.
De plus il ne pèse que 685 g.

Les touches sont de couleur noire tout comme le châssis, pour autant il existe une version avec le châssis aluminium de couleur rouge.

Certes c’est un clavier Tenkeyless mais le Strike Battle ne manque pas de fonctions supplémentaires.
Nous avons deux touches specifiques en bas à droite du clavier entre la touche « ALT GR » et la touche « CTRL ».
La touche prés de « CTRL » fait office de clic droit de la souris faisant ainsi apparaître le menu contextuel en fonction de l’application.
La touche comportant le logo Ozone permet d’accéder aux autres fonctions des touches F1 à F12.

Par le biais de cette touche Ozone, les touches F1 et F2 permettent d’ajuster le temps effectif de réponse des touches du clavier sur 7 niveaux : 1, 2, 4, 8, 12, 14 et 16 ms.
Les touches F3 et F4 permettent d’ajuster le Polling Rate sur 4 niveaux : 125, 250, 500 et 1000 Hz.

Les touches F5 à F8 sont dédiées au multimédia.

Les touches F10 à F11 permettent de gérer le volume tandis que la touche F9 valide le lancement du multimédia player.

La touche “Arrêt Defil” permet de contrôler le rétroéclairage du clavier.
La touche “Impr écran syst” permet de passer le clavier en mode Gaming. Du coup la touche Windows est désactivée et …

… Les touches M1 à M6 sont actives.
Il s’agit des 6 touches macro du clavier Strike Battle que l’on pourra configurer par le biais du logiciel.

Toujours dans ce mode Gaming, en associant la touche “Ozone” avec la touche “Windows”, nous basculons la fonction des touches fléchées en leur attribuant les touches QZSD.

Juste au dessus de ces touches fléchées, nous avons le nom du clavier retranscrit à même le châssis.

On retrouve son nom même sur le bord de la barre espace qui profite alors du rétroéclairage.

La base du clavier est uniformément plat.
Contrairement à la partie supérieure du châssis, la base est donc en plastique.

Au centre, nous avons une étiquette regroupant le nom du clavier, le logo de la marque ainsi que le numéro de série entre autres…

Le bord avant du clavier est doté de trois patins en caoutchouc pour éviter qu’il ne glisse sur le bureau.

Nous trouvons à l’arrière que les deux pieds escamotables … aucune présence de patin au niveau du châssis….

… Ils sont uniquement présents sur les extrémités des pieds.
Ces derniers relèvent le clavier de 12 mm.

Du coup lorsque le clavier n’est pas relevé, l’arrière aura tendance à glisser sous les assauts de nos dix doigts…..
On distingue bien les deux parties du châssis accentué par une différence de tonalité du noir.
Le bord inférieur révèle un aspect légèrement brillant.

Le châssis adopte une forme plate, tout comme l’ensemble des touches sur la profondeur du clavier.

Peu de chose à dire sur le bord postérieur du clavier…

… Si ce n’est la présence du logo Ozone …

… Et l’émergence du câble renforcé par un insert plastique souple.
Malgré que ce soit un clavier compact, Ozone décide de garder le câble à demeure plutôt que de passer par un système amovible. Lui donnera t’on raison pour une fiabilité dans le temps ou pour les étourdies qui auront oublier le câble chez eux….

Le câble mesure 1.5 m.
Il est revêtu d’une gaine tressée noire compacte.
A proximité de la prise USB, nous avons un noyau de ferrite qui a pour but de contrecarrer les éventuelles interférences electro-magnétiques.

La prise est frappée du logo Ozone et intègre une connectique plaquée or.

Sous les touches, nous avons les switchs MX Cherry (Les Brown dans notre cas).
Chacun d’eux est accompagné par une Led.

Chaque touche est recouverte d’une peinture noire satinée démunie de grip.
La typographie est gravée au laser.
Nous remarquons que nous n’avons pas eu de mal à les retirer du clavier… ce qui peut à la longue engendrer une faiblesse à force de frappe répétée.

L’interrupteur Cherry MX placé au centre de la barre espace est secondé par deux guides pour permettre une bonne mobilité à cette large touche.
Le système de tige métallique qui maintient ces deux guides n’est pas des plus optimale notamment quant on retire la touche de son emplacement.
On préfère un système de faux interrupteurs plus endurant et qui ne risque pas de condamner cette barre espace pour le fait d’avoir un des guides cassé.

Le Strike Battle intègre la technologie 100% anti-ghosting et un rollover sur toutes les touches.
Nous avons un rétroéclairage de couleur rouge.

Rétroéclairage qui peut être modulé sur 4 niveaux d’intensité voire même désactivé par le biais de la touche du contrôle de l’éclairage (Arrêt defil).
Ozone propose même un effet respirant.



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