Démontage :
On commence par la cage HDD.
Avant de la retirer du boitier, nous avons vu qu’il est possible de la décaler plus en arrière afin de libérer de l’espace à l’avant du boitier.
On visualise sur l’animation la présence des différents points de fixation des vis à main ainsi que les deux rails prenant place sur la base du châssis.

Une fois décalée plus en arrière, la cage HDD qui était quasiment collée à la paroi antérieure du châssis (seulement 8 mm) libère un espace un peu plus large de 35 mm.
Cet espace est suffisant pour installer un radiateur de Watercooling et notamment un radiateur 360 issu d’un kit AIO.
Nous pouvons aussi retirer la cage HDD du boitier, ce qui permet d’accéder à la totalité de l’ouverture pratiquée dans le cache-alimentation. Ainsi, même si la tache peut se révéler ardue… la marque nous donne la possibilité d’installer un circuit de Watercooling personnalisé.
Cependant, on le répète ici, ce n’est pas le point fort du Pure Base 500.

Une large encoche est créée sur le bord inférieur du châssis afin de faciliter le retrait de la cage.

La cage HDD avec ses deux vis à main qui restent solidaire de la structure en acier.
On note bien la forme spécifique des silentblocs que l’on retrouve dans l’ensemble des boitiers de la marque. La couleur de cet accessoire en caoutchouc demeure noire, quelle que soit la version du Pure Base 500.

Voici le plateau de la carte mère sans les deux supports SSD.

Le support SSD qui se positionne devant le plateau de la carte mère.
On note que le décroché dissimulant l’étroit passage de câbles fait partie de la structure en acier.

Le support SSD qui se positionne sur la large ouverture menant à l’arrière du Socket.

La face interne du panneau supérieur en plastique.
On découvre un revêtement acoustique et toute une série de bandes magnétiques afin de maintenir le panneau en place sur le Top en acier.

Le filtre inférieur.

Le support du bloc d’alimentation.
Sa face interne est équipée d’une bande en mousse.

La façade est maintenue au châssis par 3 embouts “bâtonnet” sur chacun de ses montants.
Il faut glisser la main sous la façade, agripper le rebord de l’encoche et tirer vers soi.

La face interne de la façade est aussi revêtue d’un panneau acoustique.

Sur le bord inférieur de sa structure en plastique, on retrouve un accessoire filtrant l’entrée inférieure par laquelle se glisse l’air venant de l’extérieur.

Une structure se juxtapose aux ouïes d’aération latérales et embarque un filtre qui leur est dédié.

On note la présence d’une flèche pointant vers l’intérieur de la façade, et ce à chaque extrémité.

On exerce une pression sur ces extrémités tout en poussant vers l’intérieur de la façade afin de libérer les clips et ainsi de retirer ces filtres.

Le petit filtre inférieur est fixé par deux vis.
Nous pouvons donc démonter chacun d’eux pour effectuer leur entretien.
On se demande parfois pourquoi il faut se compliquer la vie alors qu’un simple filtre positionné directement sur la ventilation se révélerait tout aussi efficace si ce n’est pas plus.

Une fois la façade retirée, nous retrouvons l’un des deux ventilateurs en 140 mm du Pure Base 500.
Cependant, sa fixation s’effectue du côté du compartiment principal.

Cet emplacement peut accueillir jusqu’à 3 ventilateurs en 120 mm ou 2 ventilateurs en 140 mm.
La forme oblongue des points de fixation permet d’ajuster leur position en hauteur, tout comme la position d’un radiateur de Watercooling (taille maximale 360 ou 280).

Le panneau des connectiques demeure indépendant de la structure de la façade.
Il est maintenu au châssis par deux vis et un système d’encoches positionné sur le bord supérieur.

Une seconde pièce en plastique renferme l’émergence des différents câbles.

Les deux ventilateurs qui équipent le Pure Base 500 sont des Pure Wings 2 en 140 mm.
Cependant, ils ne sont pas dotés d’une gestion PWM comme en témoigne la prise 3-pins prenant place à l’extrémité du câble d’alimentation.
La vitesse de rotation est de 900 tr/min. Elle engendre un débit d’air de 55.8 CFM soit 94.8 m3/h et une pression statique de 0.6 mmH2O.

Mis à part les équerres PCI, toutes les autres pièces du châssis sont fixées les unes aux autres par des rivets.
Cela comprend aussi le cache-alimentation.
Les pieds présents sur la photo demeurent amovibles, cependant leur vis de fixation se cache sous le patin en caoutchouc.

