Eismatrix (15346) :
Passons désormais à l’Eismatrix, le contrôleur de la marque. Il est destiné à contrôler la vitesse des ventilateurs, et la couleur et le rythme de l’éclairage, via une application mobile et une connexion bluetooth.
Attaquons avec la boite, assez mystérieuse puisqu’on y voit pas le produit. La mention de 14 canaux parait déjà très intéressante. A l’arrière on lit presque 144W de sortie, dont 72W par canal. Si on compte 2,5W pour un ventilateur, voilà qui laisse de la marge !
Le boitier vient dans une boite cartonnée, calé dans une mousse. L’accompagnent une tripotée de câbles, présentés dans l’ordre ; deux rallonges pour ventilateurs, une rallonge d’alimentation SATA, deux transformateurs RGB 4 pins classique vers prise utilisée par la marque, deux câbles mâle/mâle de cette même prise RGB, et deux rallonges toujours de cette prise RGB. Une notice vient en support de toute cela, nous invitant à télécharger l’application mobile sur iOS et sur Android.
Le boitier rectangulaire possède un relief sur le dessus ,en forme de X, dont de léger interstices vont laisser s’échapper la lumière. A l’arrière, aucun dispositif d’accroche n’est visible, mais le fond abrite en réalité des aimants. Pratique pour les boîtiers en acier, mais un bout de scratch en plus aurait pu être sympa pour les boîtiers en aluminium ou acrylique.
Le boîtier présente donc deux fois 14 ports, en RGB et en ventilateur, sur deux rangées. Ils fonctionnent indépendamment, vous pouvez brancher des ventilos d’un côté et du RGB de l’autre, ou des choses un peu partout sans les coller l’une à l’autre. Deux fois six ports, deux fois deux, et deux fois six donc, avec une alimentation SATA à l’arrière. Je salue le choix d’alimenter en SATA plutôt que Molex !
Aller, on passe à l’application mobile, sur Android pour mon cas. On démarre le bluetooth, la source d’alimentation du Eismatrix, et l’application. Ca scanne, et ca trouve en première ligne le boitier. On peut créer un groupe de contrôle, et peut être même ajouter d’autre périphériques à ce que je vois.
La première fenêtre quand on clique sur notre boitier est celle de la roue de couleur. On clique ou glisse vers la couleur voulue, et on gère l’intensité de la couleur. Le second onglet est celui du contrôle de ventilateur. Le curseur permet d’arrêter la ventilation, et le switch en dessous de couper en conservant en mémoire le niveau sélectionné. Le curseur glisse sans “arrêts”, donc on ne sait pas à combien on a réglé le ventilateur. L’horloge en haut à droite sert à programmer l’allumage et l’arrêt.
Le troisième onglet contient le sélecteur de mode. On a sept couleurs fixes, puis les sauts à trois et sept couleurs, les effets de respiration, et les flashs. La gamme n’utilise pas de LEDs adressables, donc toutes les LEDs ont la même couleur au même moment.
L’onglet suivant concerne la musique, jouée sur votre téléphone depuis la librairie locale. Les lumières clignotent et changent d’intensité, la couleur semblant définie par la hauteur du son. Ensuite vient l’onglet custom, pour créer un mélange de couleurs personnalisées.
Pour le micro, deux utilisations. Soit écouter une source externe, soit le démarrer et écouter une source interne via une autre application générant du son. Enfin, le mode caméra, qui permet de répliquer au plus juste une couleur vu à travers l’appareil photo de votre mobile.
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