Le All in One :
Le radiateur mesure 154 mm de long sur 120 mm de large.
Il est totalement constitué d’aluminium.
Les points de fixations sont taraudés d’un pas de vis de type UNC-6.32.
La position des trous de fixation tombe en face des ailettes et non des tubes, un bon point pour éviter de percer le radiateur avec des vis trop longues ou un serrage trop appuyé.
Son épaisseur est portée à 27 mm ce qui est devenu un standard pour la majorité des AIO, toutes marques confondues.
Un radiateur qui ne fait toujours pas dans l’excentricité avec une robe noire dotée d’un aspect mat.
Le design du radiateur est quelque peu différent du radiateur du LiqMax II, du moins au niveau des bords latéraux.
On retrouve le nom de la marque ainsi que les rivets apparents.
Le reste de la structure demeure basique.
Les tuyaux sont sertis à deux embouts droits émergeant à la base du radiateur.
Une bague en plastique assure le sertissage tout en dissimulant l’ensemble.
Le LiqMax III se veut être un AIO de faible budget. Tout comme pour le radiateur, Enermax ne vient pas non plus habiller les tuyaux d’une quelconque gaine tressée.
Ils disposent d’une structure multicouche afin de parfaire leur imperméabilité tout en combinant une bonne souplesse.
Ils sont dotés d’un diamètre externe de 12 mm et mesurent 400 mm.
Ils aboutissent au niveau de la pompe sur deux embouts coudés à 90°.
Le sertissage est toujours confié à une large bague en plastique.
Ces embouts coudés sont rotatifs sur environ 180°, cela afin de faciliter la mise en place du radiateur au sein du boitier.
Avec le LiqMax III , nous reprenons le design du module pompe/waterblock présent sur le modèle LiqTech II.
Le carénage est en plastique de couleur noire et arbore une forme carrée de 65 mm de côté avec des angles biseautés.
La hauteur est de 47.5 mm.
Certes, il ressemble au module du LiqTech II, mais nous distinguons quelques différences, ne serait-ce qu’au niveau de l’emplacement des platines de fixation et de l’aspect de la paroi.
Le LiqMax III ne reconduit pas la finition brossée, mais cela reste un détail…
Même s’il n’est pas de type adressable, le rétroéclairage RGB est bel et bien présent.
Un insert en plastique gris translucide de 5 mm d’épaisseur, prend position au-dessus du corps de la pompe.
L’ensemble est chapeauté par une plaque acrylique de 2 mm d’épaisseur assurant un aspect brillant à la partie supérieure de la pompe.
La face interne de cette plaque acrylique est recouverte d’un vinyle noir sur lequel la marque a découpé les lettres de son nom.
Ainsi les LED présentes dans le module viennent diffuser leurs faisceaux colorés à travers l’insert translucide parcourant la périphérie de la pompe et à travers le nom “Enermax”.
Sur l’un des côtés de la pompe, nous avons un petit capuchon en caoutchouc de forme rectangulaire.
Il dissimule la prise RGB spécifique au LiqMax III sur laquelle nous brancherons le câble adéquat présent dans le bundle.
Cela est dans le but de profiter de la gestion logicielle de la carte mère pour gérer le rétroéclairage RGB de cet AIO.
À défaut de branchement de ce câble, le LiqMax III se pare d’un simple éclairage blanc tirant sur le bleu au niveau des angles biseautés.
A proximité de la prise RGB, nous avons l’émergence du câble d’alimentation de la pompe.
Ce câble mesure 280 mm et il est revêtu d’une gaine tressée noire.
Il se termine par une prise 3-pins.
Les pattes de fixations pour le Socket Intel sont d’ores et déjà en place sur le corps de la pompe.
Pour un montage sur une carte mère disposant d’un socket AMD, nous retirons les vis et remplaçons ces pattes par celles présentes dans le bundle et dédiées au Socket AMD.
Un film protège la base du Waterblock.
Comme il est stipulé en rouge et en anglais… Il est impératif de retirer le film avant d’installer le LiqMax III sur le processeur, au risque de ne pas avoir les performances espérées…
Cette base, de forme carrée, mesure 56 mm de côté.
Elle est en cuivre et sa surface de contact présente de minimes traces d’usinage.
En se référant aux informations du site, la base est constituée de microcanaux et l’on note la présence d’un canal traversant ces microcanaux perpendiculairement.
Ce procédé, baptisé “Shunt Channel” par Enermax, permet d’accélérer les performances de transfert de chaleur.
